J’ai un grand et vieil appartement avec un nombre de pièces indéterminé mais élevé ; j’en visite plusieurs, notamment une vaste chambre où j’ai un meuble encombré de vieux jouets, que je compte déplacer (les jouets) plus loin dans la pièce, sur le dessus d’un lit en mezzanine. Je regarde également mes murs, blancs, vides pour la plupart, en me disant que je pourrais y coller plus de meubles, ou des affiches, des photos, etc. Ensuite mon ex-compagne arrive et je réalise qu’elle possède une clé de l’appartement que moi je n’ai pas ; elle a dû l’avoir lorsqu’on a emménagé et qu’on s’est réparti les clés, sans faire attention au fait que celle-ci était unique. On réalise que cette clé est celle d’une porte, sur le palier, qui permet d’accéder à une autre partie de l’immeuble, via une pièce décorée comme une salle à manger ou un salon (ancien, vieillot) où je n’ai jamais mis les pieds mais dont mon ex me dit qu’il sert de passage, précisément, aux habitants de l’immeuble, comme une sorte de raccourci. Mais nous réalisons que cette pièce est en fait à nous, fait partie de notre, de mon appartement. Il y a même une autre pièce entre après celle-ci. Je vais encore pouvoir m’étendre, pouvoir vivre encore d’autres vies, d’autres moments, dans ces pièces, j’ai encore des refuges supplémentaires.